Dans l'expression "
moi-même" qu'on utilise tous, on est déjà deux. Tout seul à la maison on peux parler avec
soi-même et par la suite, au café-philo, avec les autres
nous-mêmes.
La qustion habituelle étant structurée différemment, on peux faire la distinction entre les choses et l'état d'être de ceux qui définissent ces choses. Les colonialistes avaient enregistré dans leur registre des biens, les esclaves (
les êtres) comme des armoires. C'est de là cette mauvaise habitude génétique de quelqu'uns à utiliser les autres comme de choses, d'objets de consommation.
Le mot
personne se manifeste aussi de deux manières paradoxales;
-
nul/
personne et comme «
masque de l'acteur » /
étymologie de la
personne. Cela veut dire que nos masques (
rôle en société) nous donne l'illusion qu'on est quelqu'un même si
nul ne s'étonne que ces masques ne sont
rien par rapport au sens
figuré/profond de la question qui nous concerne tous «
qui suis-je/qui sommes-nous ».
Tant qu'on pense qu'il y a un
début on est dans le
fini, car philosophiquement le
fini se défini par un
commencement et un
fin. C'est à partir de notre corps
fini qu'on s'élève vers l'
infini, car il y a du
fini dans l'
infini. À la question, "
pourquoi il doit y avoir une raison d'exister" je répondrai par une autre question complémentaire. Pourquoi la
déraison n'est pas capable à définir la
raison d'une manière
raisonnable ? Sans la
raison, la
déraison pourra prendre l'apparence de la
raison et tromper comme d'habitude toute
pensée-mémoire-fini-bornée-répétitive.
La
conscience est encore plus performante que la raison. Un aphorisme dit que "
la conscience ne t'empêche pas de commettre un péché, mais elle t'empêche de jouir en paix".L'
immortalité-
du fini chez les pharaons
avait comme grandeur, celle de leur pyramide. Leurs richeses sont tomber entre les mains de voleurs et leurs pyramides sont devenu un lieux touristique pour d'autres égoïstes qui rêvent aussi en prendre un brique en souvenir de l'égoïsme pyramidal du pharaon.